Catégories : FANTASME
il y a 4 ans
Les mésaventures d'un journaliste dans la cité des femmes gynarchiques
La ville de PARIS 19EME est l'arrondissement le plus chaud de la capitale mais aussi un des arrondissement de Paris le plus chaud de France ! Une grande partie de la population vie sous le seuil de pauvreté, on y trouve 25% d'immigrées (sans compter les sans papiers), beaucoup de familles monoparentales et familles nombreuses sans père ! Le taux de criminalité est très haut.
Dans cet arrondissement, on y trouve la cité des femmes gynarchiques.
Les femmes s’y sont organisées, puisque plus de 80 % des hommes sont soit décédés lors d’un règlement de compte soit en prison.
Des Dojos clandestins ont été ouverts. Les femmes y pratiquent des sports d'auto défense, comme le krav maga, le systhéma, la boxe de rue ou bien des systèmes de combat plus anciens comme le tai jitsu. Elles se sont entraînées pour des situations où il n'y a aucune règle à part « survivre ». Autant dire que les 20 % d’hommes restants rasent les murs et respectent le gente féminine.
Si les femmes entre elles ne se font pas de cadeau, dans la cité des femmes gynarchiques, elles peuvent sortir prendre le frais le soir en bas de l’immeuble sans aucun problème. Aucun homme sensé n’irait ennuyer une femme dans cette cité, même si elle porte une minijupe, le danger est bien trop grand.
Ce qui affole le gouvernement, ce n’est pas qu’une femme ait réussi à se faire élire Maire de cet arrondissement, c’est que dans d’autres cités sensibles, des femmes se sont lancées avec succès en politique. Ils les appellent en secret « la gangrène féminine ».
Un journaliste, présomptueux comme ils le sont tous ou presque, s’est aventuré dans la cité des femmes gynarchiques. Comme ils le font toujours, au lieu de poser des questions simples pour faire son reportage, il s’est amusé à poser des questions « cons » et volontairement provocatrices. Un peu trop !
Ses questions n’avaient pas pour but de collecter des informations, mais plutôt de faire sentir aux femmes qu’elles étaient des incapables. Il était évident qu’au lieu de donner des informations claires sans parti pris, il allait, comme aiment le faire les journalistes, créer des tensions, diviser et simplement chercher à publier un torchon tendancieux. Mauvaise idées !
(Désolé, mais une grande parti des journalistes fonctionne comme ça pour se « vendre » et faire « sensation » au lieu d’être impartial. J’y reviendrai et expliquerai à la fin de l’histoire)
« Reine » de son surnom, l’a bien senti. Au lieu de casser les dents ou les jambes du journaliste imbu de sa personne et convaincu de son charme « irrésistible », elle lui a laissé croire qu’elle acceptait une interview « intime ». Le grand benêt, fier comme Artaban, rédigea un article orienté titré : « la nouvelle délinquance ».
La veille de la publication du « torchon », Reine accepta l’invitation du journaliste. Il était convenu qu’il vienne la prendre au bas de son immeuble à 20 heures. Lorsqu’il entra dans la cité des femmes gynarchiques, il apprécia grandement le sentiment de sécurité, contrairement aux autres cités. Assis sur le capot de sa BMW, représentant 20 ans de salaire d’une des filles de la cité, il fumait une cigarette tranquillement. Convaincu qu’il allait se faire draguer, il ne prit pas garde quand trois jolies filles virent l’aborder. « Elles veulent me taper de clops » pensa Paul. C’est effectivement ce qu’elle lui demandèrent poliment en se faisant très « chattes ». Il sortit le paquet de sa poche, l’ouvrit et le tendit pour qu’elles se servent.
Ce n’est pas une cigarette qu’elles prirent mais son poignet autour duquel, le bracelet d’acier d’une paire de menottes trouva sa place. Avant même qu’il ne comprenne ce qui lui arrivait, le petit journalise se retrouva plaqué sur le capot de sa BMW et fut menotté mains dans le dos. Une des trois lui enfila une cagoule. Il essaya de se débattre, un coup de pieds dans les couilles coupa net ses réfutations. Un collier de chien fut posé autour de son cou, et c’est tenu en laisse qu’il fut conduit dans les caves de l’immeuble. Sa jolie BMW fut déplacée et dissimulée aux portes d’une autre cité pour que la géo localisation du véhicule ne conduisent pas la police chez elles. Le téléphone portable du journaliste fut caché sous le siège.
Arrivé dans une des caves, on l’attacha comme un chien sur un matelas jeté à terre.
- Tu seras peut-être libéré demain matin, quand nous aurons lu ton article sur la cité des femmes.
Et là, le petit journaliste regretta grandement d’avoir fait de la désinformation et d’avoir titré son article : « la nouvelle délinquance ».
Paul passa une nuit blanche, il est vrai qu’être attaché comme un chien en se doutant que l’article ne plairait pas à ces dames, n’aide pas à dormir. A cela se rajoute, que les deux bières prises au journal avant de partir finirent par avoir raison de sa vessie. Menotté et entravé par le cou au mur comme un chien, il n’eut pas le loisir de « lever la patte » et du s’abandonner dans son pantalon taillé sur mesure chez un grand couturier.
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A la première heure, le torchon arriva sur la table de Reine avec des croissants chauds apportés par son esclave personnel. Aussi bons soient-ils, elle eut du mal à les manger en lisant l’article sur sa cité.
- C’est un tissu de mensonges, ce conard a complètement détourné mes propos ! Cria Reine en serrant les poings pour se contrôler et ne rien casser de rage.
Sa colère fut sans pareille, elle alla toquet chez sa voisine pour lui faire voir le torchon. Et là, qu’elle ne fut pas sa surprise !
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C’est cet enculé qui avait fait l’article sur les vêtements soi-disant provocateurs des filles qui ne doivent pas s’étonner de se faire v i o l e r. Tu sais, la petite qui revenait du sport en survêtement et qui a subit une tournante dans les caves. C’est ce conard qui avait couvert l’évènement et interviewé les fous radicalisés trouvant que la fille avait tord. Lui répondit froidement Safia sa voisine.
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Je pense que nous allons avoir une petite discussion avec lui ! Répondit Reine.
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Nous pourrions lui dispenser une formation avec un stage pratique dans la zone B avant de le libérer !
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Excellent idée !
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Le moral dans les chaussures mouillées, le journaliste commença par incendier Reine et sa voisine une fois qu’elles lui ont retiré sa cagoule. Il les menaça « prudemment » de porter plainte si elles ne le libéraient pas rapidement.
Deux gifles plus tard, dont une rendue par le mur, le petit journaliste mais grand menteur eut d’autres explications musclées. Elles l’obligèrent à lire à haute voix ce qu’il avait écrit. A chaque mensonge, il reprenait un coup.
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Tu nous as humiliées dans ton article et faites passer pour des délinquantes. Je te rappelle que dans ma cité, il n’y a plus de vols, plus de came, plus de dégradation de poubelle ou de voiture. Les cages d’escaliers ont été repeintes par ceux qui les avait taguées. Plus personne n’ose dégrader quoi que ce soit ici. Aucune fille ne se fait agresser et ce, quelque soit l’heure où elle rentre ou sort de chez elle. C’est ce que tu appelles de la délinquance toi ?
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Il n’y a plus de v i o l même quand les filles sont soi-disant provocantes. Cela te parle conard ? Lui demandé Safia.
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Non, je ne comprends pas pourquoi vous me dites ça ?
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Ton article sur l’étudiante qui revenait du sport et a subit une tournante, tu t’en souviens ?
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Allez chez de pauvres gens avec une BMW à 60 000 euros avec des fringues de luxe ce n’est pas de la provocation d’après toi ? Donc, si je comprends bien tes idées à la con, si tu étais venu en clio et en jean, cela n’aurait pas été da la provocation. Là comme tu as provoqué toute la cité, il est normal que l’on fracasse ta voiture et qu’on te v i o l e ? C’est ça ? Hurla Reine avant de lui mettre un grand coup de poing dans le ventre.
Plié en deux sur le matelas mouillé de son urine, Paul se mit à les supplier avant de s’excuser mais il était trop tard. La cité des femmes gynarchiques toute entière criait vengeance et ça, Reine le savait. Libérer le journaliste n’était plus possible, il n’arriverait pas entier à la sortie. Il passa donc la journée dans sa misère.
« Tout à coup la prison bien close
Où vivait le bel animal »
Quatre femmes entrèrent pour le dévêtir. Conduit en laisse dans le labyrinthe des couloirs des caves jusqu’au bâtiment B, il fut lavé au jet d’eau avant d’être installé confortablement sur un carcan réservé aux v i o l e u r s. Le carcan donne sur deux caves. D’un côté la tête coincée dans un cube ressemblant à s’y méprendre à des toilettes, de l’autre ses fesses nues grandement exposées sur une planche. Avec les jambes en V entravées sur le mur, le cul au bord de la planche, son petit anus encore vierge fut désigné par des flèches dessinées aux feutre. Son sexe fut sévèrement ligoté contre la paroi pour bien exposer ses testicules, un peu comme un punching ball.
Une des victimes de prédateur sexuel fut contactée par Reine. Elle lui proposa, non pas de se venger, mais d’expurger sa douleur un sodomisant un conard à l’aide d’un gode ceinture de bonne taille. Ayant perdu son bébé lors de son agression sexuelle, elle n’hésita pas un instant.
Safia, de son côté rameuta quelques femmes sûres côté discrétion, pour une formation de mâle. Certaines étant déjà Maîtresse, de toute évidence, le petit journaliste grand menteur allait quelques peut découvrir certaines choses sur l’intimité féminine.
Deux heures plus tard, après le 20 heures et la digestion, elles se retrouvèrent dans les fameuses caves du bâtiment B. Situées au troisième sous-sol muré et fermé par une grande porte en acier, ces lieux ont été transformés en prison et centre de formation pour délinquants. A travers les portes des caves transformées en cellules, on peut entendre les camés pleurer, les voleurs manger à quatre pattes comme des chiens pour cause de doigts cassés et de chaîne les empêchant de se relever.
Lorsque la pauvre petite ayant perdu son bébé, suite à une tournante distrayante, découvrit le cul offert et le gros gode ceinture proposé, elle retrouva le sourire perdu l’année précédente. Elle l’enfila à sa taille avec un grand plaisir puis vint lui faire toucher du gland, le petit anus peureusement contracté.
Le petit journaliste grand menteur dit: "C'est aujourd'hui que j'le perds!"
Il parlait de son pucelage,
Vous aviez deviné, j'espère » !
Il hurla beaucoup quand la petite essaya de f o r c e r l’étroit passage. Il fallut rajouter du lubrifiant sans quoi, la fleur refusait d’éclore. Et pour cause, pour une première sodomie, 6 centimètres de diamètre c’est un peu gros ! Paul avait l’horrible impression qu’on s’attaquait à sa rondelle étoilée au fer rouge. En fait, ce n’était qu’un simple gode noir. Une peu gros, certes ! De l’autre côté de la cloison, les cris désespérés de Paul furent rapidement étouffés par un gros cul noir s’essayant sur la cuvette au dessus de son visage. Même dans le noir, il comprit très vite ses nouvelles fonctions quand un jet d’urine inonda son visage.
C’est à ce moment précis, pas de chance....., que le gros gode parvint à se frayer un chemin dans son étroit conduit. Il ouvrit grand la bouche pour « exprimer son sentiment » en criant au mauvais moment. La jolie doudou noire avant consommé pas mal de « ti punch », il ne savoura pas le rhum importé de là-bas à sa juste valeur, mais dans un flot généreux d’urine. Il toussa et cria beaucoup.
La suite serait délectable,
Malheureusement, je ne peux
Pas la dire, et c'est regrettable,
Ça nous aurait fait rire un peu;
Car le journaliste, au moment suprême,
Criait: "Maman!", pleurait beaucoup,
Comme la pauvre petite qu’il avait couverte de honte dans son journal en plus de toutes les souffrances qu’elle avait vécues.
EPILOGUE
Un mois plus tard, le pauvre petit journaliste grand menteur avait pris plus de bites et de godes ceinture dans le cul, qu’un gay très joueur âgé de 80 ans en aurait pris de toute sa vie. Des culs et des chattes de femme, il en avait léché une bonne douzaine chaque jour, de propres et des moins propres. L’urine étant sa seule boisson, il s’y était habitué, la soif rend moins difficile.
La police avait évidement enquêté. Ce qu’avaient grandement apprécié les inspecteurs dans la cité des femmes gynarchiques, c’est la sérénité et le calme qui y régnait. Oui les femmes en voulaient au journalise mais, comme tout le monde semblait paisible, ils orientèrent leurs recherches ailleurs.
Le pauvre petit journaliste grand menteur fut relâché nu en « presque » bonne santé (physique uniquement) par une nuit sans lune au bord d’une voie ferrée. Il trouva de bon goût d’en faire son dernier lit.
Fin
TSM
Cette horrible histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
C’est le détournement de la vérité de la part de certains journalistes qui, pour briller et faire du sensationnel vendable, sont prêts à vendre père et mère.
Ce texte abominable, est aussi un petit clin d’oeil à un journaliste que j’aimerai beaucoup, aujourd’hui, avoir sous mes fouets pour ne pas avoir respecté les clause 1 + 6 + 8 avec mes parents. Des mots clés juste pour lui : Garons / Féria / Encierro / commerçants / itinéraire. Il n’y a que lui qui puisse comprendre s’il vit encore, ne cherchez pas.
Les dix devoirs de la charte des journalistes
-
Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité.
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Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique.
-
Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents.
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Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents.
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S’obliger à respecter la vie privée des personnes.
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Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte.
-
Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement.
-
S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information.
-
Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.
-
Refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.
Lorsque vous écoutez le journal télévisé on lisez la presse avez-vous l’impression qu’ils respectent cette charte ?
Ce n’est, évidement, qu’une question, pas une accusation ! (Sauf pour le conard de journaliste à qui je dédie ce texte)
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